Sexy et sympa… Est-ce qu’on ne serait pas face au plus beau PSG de l'histoire ?
Un PSG dominateur mais prudent
Ce mercredi matin, le PSG a fait la moitié du chemin censé l’emmener tout droit à Munich, le 26 mai 2025, en finale de la Ligue des champions. En s’imposant (1-0) sur la pelouse d’Arsenal, le club parisien s’avance désormais dans le costume du favori, même si ce score étriqué laisse la porte ouverte à toutes les interprétations.
La métamorphose inspirée
Depuis le début de l’année 2025, le PSG s'est métamorphosé. Loin de l’équipe menée par Messi-Neymar-Mbappé ou du domination purement nationale de 2015-2016, ce collectif allie élégance et efficacité, offrant l’un des spectacles les plus séduisants du continent.
Avec une première partie de saison en demi-teinte, Paris a su ressusciter son jeu offensif et son solidité défensive, se hissant parmi les meilleures formations européennes.
Une alchimie de groupe
« On se sent comme une famille et ça se reflète sur le terrain », confiait Pacho en zone mixte. De Donnarumma à Marquinhos, en passant par Dembélé ou Vitinha, chacun trouve sa place dans un ballet millimétré, où l’entraide prime sur la starification individuelle.
Le défi de Luis Enrique
Critiqué en début de saison, Luis Enrique a su imposer son style et ses principes jusqu’au-boutistes. Sa grinta, ses mimiques, et sa foi ont transformé le vestiaire, faisant de ce PSG un véritable bloc déterminé à tout donner.
« Je pense qu’on a montré la bonne mentalité, c’est un vrai plaisir pour moi d’entraîner le PSG », déclarait l’Asturien. Et son œuvre se savoure sur chaque pelouse européenne.